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Chère sœur musulmane ! Le voile n’a d’autre fonction que de te préserver et de te protéger des regards empoisonnés venant des cœurs malades et des chiens humains. Il t’est un rempart aux appétits féroces. Tu dois t’y attacher, et ne pas te tourner vers ces revendications pour le moins tendancieuses dont les aspirations sont de combattre le voile en cherchant à le dénigrer. Leurs partisans ne te veulent aucun bien comme le Seigneur le révèle :
"Ceux qui suivent leurs passions voudraient profondément que vous succombiez". (4: 27)
Quant aux tromperies d’Iblîs envers les femmes, elles sont nombreuses, j’ai écrit un livre spécialement consacré aux femmes [Ahkâm Nissa]. J’y ai mentionné ce qui les concernent dans tous les actes d’adoration et d’autres. Je citerai ici juste quelques points des ruses d’Iblîs envers elles.
Il y a le fait que la femme verra la fin de ses menstruations après le lever du soleil, elle fera alors le ghusl après l’heure du ‘asr et priera uniquement la prière du ‘asr, alors qu’il était obligatoire pour elle de faire la prière du Dhuhr !
Parmi elles, se trouvent celles qui négligent le ghusl pendant deux jours, donnant comme excuse qu’elles doivent laver leurs habits.
Peut être qu’elle retardera le ghusl de la janâbah de la nuit jusqu’au lever du soleil. Et quand elle entrera dans la salle de bain, elle ne se couvrira pas et dira : « Moi et ma sœur, ma mère et mon esclave sont des femmes tout comme moi, donc pourquoi devrais-je me couvrir devant elles ?! » Et tout cela est harâm.
Il n’est pas permis à la femme de regarder ce qui se situe entre le nombril et les genoux d’une autre femme (d’autres savants ont inclus le buste et la poitrine) même s’il s’agit de sa fille ou de sa mère sauf si la fille est un enfant, mais lorsqu’elle atteint les sept ans elle doit être couverte et on doit se couvrir devant elle.
Peut être que la femme priera assise alors qu’elle est capable de prier debout. La prière est dans ce cas invalide.
Peut être qu’elle donnera comme excuse l’impureté de ses habits due à l’urine de son enfant (elle prie avec des habits impurs) alors qu’elle peut les laver. Mais si elle doit sortir de chez elle, elle se vêtira d’une bonne manière et empruntera même des habits ! Elle est négligente vis-à-vis de la Salah.
Peut être qu’elle ne connaît aucune règle concernant la Salah et elle n’interrogera personne.
Peut être qu’elle découvrira une partie de son corps qui rendra sa salah invalide et elle n’y prêtera aucune attention.
Peut être qu’elle ne se souciera pas de se faire avorter, et elle ne sait pas que si elle se fait avorter de ce qui a une âme ; c’est comme si elle avait tué un musulman !
Peut être qu’elle vivra avec son mari d’une mauvaise manière, elle lui parlerait d'une manière qui est haram et dirait : « C’est le père de mes enfants et c’est tout ce qu’il y a entre nous » et elle sortira de chez elle sans sa permission et dira : « Je ne sors pas pour faire des pêchés. » alors qu’elle ne sait pas que le fait de quitter sa maison sans la permission de son mari est un pêché en lui-même !
Parmi elles se trouvent celles dont le mari les appelle au lit (pour avoir des rapports) et elle refuse, elle pense que ce refus n’est pas un pêché alors qu’elle n’a pas le droit d’agir comme cela, conformément à ce qui a été rapporté par Abu Hurayrah (radhiallahu’anhu) que le Messager d’Allah (sallallahu’alayhi wa sallam) a dit : « Si l’époux appelle sa femme dans son lit, qu’elle refuse, et qu’elle passe la nuit tandis que son mari est en colère après elle, les anges la maudissent jusqu’au matin." (Bukhari et Muslim)
Elle dépensera de manière insouciante les richesses de son mari, et il ne lui est pas permis de prendre un bien de la maison sans la permission de son mari ou en sachant qu'il sera content de son geste.
[...]
« Al-Aswad Al-’Anssî » était de ceux qui affirmaient être un prophète en possession de Chayâtines [satans] qui l’informait des choses cachées [al-Ghayb]. Lorsque les musulmans le tuèrent, ils craignirent que les satans [ach-Chayâtines] ne l’informent de ce qu’ils disaient à son propos. Jusqu’à ce que sa propre femme soit celle qui aida les musulmans contre lui après que sa mécréance [Kufr] lui apparut clairement, et ils le tuèrent. De même pour « Musaylamah Al-Kadhâb » [le menteur/l’imposteur] qui avait aussi en sa possession des démons [ach-Chayâtines] qui l’informaient sur les choses cachées et l’aidaient de différentes manières.
Et les exemples de la sorte sont nombreux tel que celui de « Al-Hârith Ad-Dimashqî » qui est sortit au « Châm » [Ce qui représente la Syrie/Jordanie] à l’époque de Abdel-Malik Ibn Marwân, qui se disait être un prophète ; Ces « Chayâtines » retiraient ses jambes du fer, et empêchaient les armes de pénétrer son corps. Des piliers en marbre louaient Allâh lorsqu’il passait sa main dessus. Il voyait des gens marcher et s’élever vers le ciel et il disait : « Ce sont des anges [al-Malâ-îka] ». Alors qu’en réalité ils n’étaient rien que des « Djinns » [démons]. Lorsque les musulmans le capturèrent et se préparèrent à le tuer, l’exécutant essaya de lui planter son épée, mais elle ne pénétrait pas son corps. Abdel-Malik lui dit alors : « Tu n’a pas dit la Basmallah [Au Nom d’Allâh] ». L’exécutant dit alors « Basmallah » et il le tua.
Tels étaient ces gens « Al-Ahwâl ach-Chayatâniyyah » [dans des Situations sataniques], et leurs Satans les délaissent et s’enfuient lorsqu’il leur est mentionné des versets tel que « Ayat ul-Kursî » [Verset du Trône]. Il est certes rapporté dans le Sahîh selon un hadîth de Abû Hurayra (radhiallâhu ’anhu) que lorsque le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) le désigna pour surveiller la « Zakat al-Fitr » [Impôt purificateur donné à la fin du Ramadhân], un homme vint la nuit et vola de la Zakat. A chaque fois, il l’attrapa et le captura, et à chaque fois il se repentit et implora d’être libéré. Le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) lui demanda « Qu’a fait ton prisonnier la nuit dernière ? ». Il répondit : « Il affirma qu’il ne recommencerait plus. » Et il [Prophète] dit : « Il ment, il reviendra sûrement. » A la troisième reprise, l’homme dit à Abû Hurayra : « Laisse-moi, et je t’enseignerai ce qui te sera bénéfique - Lorsque tu vas dormir récite « Ayat ul-Kursî » et la protection d’Allâh sera avec toi et aucun Satan ne s’approchera de toi jusqu’au matin. Lorsqu’il informa le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) de ce que lui a dit le Satan [Chaytân], le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) dit : « Il a dit la vérité et c’est un grand menteur. » [1] Et le Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam) lui informa qu’il [l’homme] n’était autre que Chaytân.
Ainsi, si une personne récite ce verset [Âyat] durant une situation satanique [Ahwâl ach-Chaytâniyyah] avec sincérité, cela l’éliminera, comme la personne qui entre dans le feu sous état satanique ou qui assiste aux spectacles musicaux avec des sifflements et tambourins jusqu’à ce que les Satans [Chayâtines] descendent sur lui, et disent par leur langue des paroles que la personne ne connaissait pas, et il se peut qu’elle ne les comprenne pas. Il pourra dévoiler aux gens des choses qui sont dans leurs cœurs ou parlera différentes langues, comme le « Djinn » [démon] parle sur la langue du possédé. L’homme qui subit cette situation ne sait pas ce qu’il vit, comme le possédé qui est touché par un coup du Chaytân, possédé par lui, et qui parle à travers lui. Lorsque le Djin sort de la personne, celle-ci n’a aucun souvenir de ce qu’il a dit. C’est pourquoi, les gens possédés sont parfois frappés de telle façon que cela pourrait tuer une personne normale ou la rendre gravement blessée, mais cela n’a aucun effet sur elle. Lorsque le Djinn [démon] sort de lui, la personne dira qu’elle n’a rien sentit car les coups ne l’ont pas atteint, mais plutôt le Djin qui l’occupait.
Parmi eux, on compte aussi ceux à qui les Satans [Chaytân] apportent de la nourriture, des fruits et gourmandises qui ne se trouvent pas dans la région où vit la personne. D’autres encore sont transportés à travers les airs par leur Djinn [démon] vers la Mecque [Mekka] ou à Jéruslem [Bayt al-Maqdiss] ou ailleurs. Certains sont amenés à ’Arafat au jour de la station de ’Arafat durant le Hadj [pèlerinage], et reviennent la même nuit, mais ils n’ont pas fait le Hadj légiféré [Char’î]. Au contraire, Ils s’y rendent dans des vêtements ordinaires, ne se sacralisent [Ihrâm] pas aux limites [Miqât], ne font pas la « Talbiyyah » du Hadj, ne stationnent pas à « Muzdalifa » et ne font pas le « Tawaf » [autour de la Maison sacrée de la Mecque], ni les parcours entre « Safâ et Marwa », ne jettent pas les cailloux aux stèles [ar-Ramî] [représentant Chaytân]. Bien au contraire, ils ne vont qu’à ’Arafat dans leurs vêtements ordinaires et reviennent la même nuit. Cela n’est certes pas le Hadj [accepté]. Une de ces personnes vit un jour des anges [al-Malâ-îka] après son retour [de la Mecque] écrire les récompenses des pèlerins. Il leur demanda : « Allez-vous m’inscrire ? » Ce à quoi ils lui répondirent : « Tu n’es pas un des pèlerins » c’est-à-dire, un pèlerin véritable.
La différence entre les « Karâmat » [Prodige/Miracle] des Alliés d’Allâh [Awliyâ] et ceux qui leur ressemblent parmi les situations sataniques [al-Ahwâl ach-Chatâniyyah] sont multiples et celle-ci sont :
[2]
De ce fait, parler sur Allâh sans science, le Chirk [polythéisme], l’oppression et les actes méprisables [al-fawâhich] ont été interdits par Allâh -Ta’âla- et Son Prophète (sallallahu ’alayhi wa sallam). Ils ne peuvent donc être la cause de prodiges [Karâmat] qu’Allâh leur accorde [à Ses Alliés] sous la forme de miracles. Si tout acte semblant miraculeux ne vient pas de la prière, du rappel d’Allâh [Dhikr] et de la lecture du Qor’ân, mais plutôt de ce qui est aimé par Chaytân [Satan], et par des choses comportant du Chirk tel que le fait de demander l’aide et le secours des créatures ou bien d’une chose qui opprime les gens ou commettre des péchés, tout cela constituent des situations sataniques [Ahwâl ach-Chaytâniyyah] ne provenant pas des prodiges du Tout-Miséricordieux [Karâmat ar-Rahmâniyyah].
Certains parmi eux, en assistant aux séances de musique et sifflement, sont possédés par les Satans [Chaytân] et transportés dans les airs et à l’extérieur de la maison. Si véritablement un homme parmi les alliés d’Allâh vient, le démon est blessé, et l’homme tombe sur le sol comme cela s’est produit plus d’une fois.
D’autres encore parmi eux, recherchent l’aide de créatures vivantes ou mortes, et sans tenir compte si la personne vivante est musulmane [Muslimân], chrétienne [Nasrâniyyân] ou polythéiste [Muchrikân]. C’est là que vient Chaytân [Satan] ensuite sous la forme de celui qui est invoqué, et l’aide dans ses besoins. La personne croit que celui qu’elle a demandé est venu ou un ange sous la forme de celui qu’elle a demandé. Alors qu’en fait, ce n’est que Chaytân qui a réussit à l’égarer en lui faisant commettre l’acte d’association à Allâh, comme Chaytân entrait dans les idoles de la Mecque et parlait aux adorateurs des idoles. Quelquefois, Chaytân vient sous forme humaine et dit qu’il est « Al-Khadhir » et l’informe de choses secrètes et l’aide dans ses besoins.
De même, il a été attesté par plus d’un musulman, juif et chrétien et de beaucoup parmi les mécréants dans les pays de l’Est et l’Ouest, que lorsque l’un d’eux meurt, Chaytân vient après sa mort sous sa forme et avec sa face, et les gens croient que c’est cette personne. Le Djinn [démon] peut payer les dettes de ces hommes, rendre ses biens, et faire d’autres choses relatives au mort, visiter sa femme, et partir. Ils peuvent avoir brûler le corps du mort, comme le font les mécréants en Inde, et croire ainsi qu’il vit après sa mort.
Et parmi ces personnes [témoins de ces ruses] il y eut un vieil homme d’Egypte qui écrivit dans sa « Wassîyyah » [testament] : « Quand je mourrai, que personne ne lave mon corps, car je reviendrais après ma mort pour laver mon corps ». Lorsqu’il mourut, son serviteur vit un homme ayant la forme du mort, et crut que ce fut lui et qu’il allait laver son propre corps. Lorsque celui qui apparut eut terminé le lavage, il disparut sans laisser de traces. C’était un Chaytân [Satan] qui avait réussit à tromper celui qui allait mourir en lui suggérant qu’il reviendrait après sa mort et qu’il devait interdire de faire laver son corps. Lorsqu’il mourut, ce Chaytân vint sous la forme du mort afin d’égarer les autres comme il avait précédemment égaré le mort.
Et d’autres ont vu un trône [’Arch] dans les airs avec une lumière au-dessus et une voix qui dit : « Je suis votre Seigneur. » Si ce sont des gens de connaissance [Ahl al-Ma’rifa], ils seront que c’est Chaytân, demanderont la protection d’Allâh contre lui, et cela disparaîtra. D’autres voient un homme en état de veille qui affirment être un prophète ou un vieil homme saint. Cela est arrivé à plus d’un. Certains ont prétendu avoir vu en songe quelques-uns parmi de grands hommes tel Abû Bakr (radhiallâhu ’anhu) ou d’autres venir vers eux et leur raser la tête ou raccourcir leurs cheveux ou les vêtir d’un chapeau ou d’une tunique. Lorsque la personne se réveille, elle trouve ses cheveux rasés ou rétrécis, ou vêtue du chapeau ou de la tunique dont elle a rêvé, mais ce n’était qu’un Djinn [démon] qui lui a rasé les cheveux ou raccourci, et ce ne sont que des situations sataniques [Ahwâl ach-Chatâniyyah] qui arrivent à ceux qui sont sortit du Qor’ân et de la Sounnah et ils sont à des niveaux différents [dans leur égarement], comme le Djinn qui leur est rattaché et qui est de leur genre et de leur dogme [Madhhab] [...] [3]
[1] Rapporté par al-Bukhârî
[2] Coran, 7/33
[3] Madjmu’ al-Fatâwa de Ibn Taymiyyah, vol-11 p.158-165